J'espère sincèrement que vous allez bien et que vos familles et amis sont en sécurité en ces temps malheureux. Certains d'entre nous sont à salle à manger, et certains d'entre nous sont encore sur leur lieu de travail. Dans les deux cas, nous sommes tous dans le même bateau.
Ou en quelque sorte…
Pour l'industrie de la moto, cela n'aurait pas pu arriver à un pire moment. Le ralentissement du secteur pétrolier, le calendrier saisonnier de la pandémie et le récent ralentissement de l'économie canadienne créent tous une situation grave pour notre industrie bien-aimée ici au Canada. Ce sont normalement les mois les plus importants pour les ventes d'unités, et fermer les portes, c'est comme scotcher la bouche d'une personne affamée.
Lorsque j'ai commencé dans l'industrie en 1985, l'industrie du vélo était stupéfiante et tentait de se remettre d'une récession majeure quelques années plus tôt. Je travaillais comme clé à molette chez notre concessionnaire Kawasaki local (à l'époque, ils s'appelaient «Goodtime Centres»). Une partie de ma responsabilité consistait à préparer de nouvelles unités. Je me souviens qu'au cours de cette première année, nous avions d'innombrables nouvelles unités sur le sol des années précédentes. Les vélos ne bougeaient tout simplement pas.
Un samedi matin, un homme d'âge moyen plus aisé est entré et a acheté un reste de GPz1983 de 1100. J'ai été chargé de le démarrer et de préparer la livraison.
Je me souviens d'avoir essayé si fort de démarrer ce putain de truc, et ça n'a pas marché. L'un des techniciens les plus expérimentés est intervenu et il a finalement pris vie. Il a fait un commentaire simple que je n'oublierai jamais. Il m'a essentiellement dit que le vélo aurait démarré facilement si nous avions été autorisés à le laisser fonctionner plusieurs fois au cours des 24 mois précédents.
Je pense que c'est mon message à notre groupe. Si nous le pouvons, nous devrions essayer de nourrir au maximum nos commerçants locaux en ces temps calmes. Un peu de soutien en mai permettra à ces personnes de reprendre leurs activités pleinement beaucoup plus facilement une fois le risque passé. À l'heure actuelle, le MCC appuie le « séjour à salle à manger” état d'esprit, non seulement pour l'interaction sociale mais aussi pour la conduite. Quel meilleur moment que celui-ci pour acheter ces accessoires et articles d'entretien ?
Quelques bonnes nouvelles à cet égard; Je suis toujours très proche de mes plus grands concessionnaires locaux, et cette semaine, tous ont signalé de fortes ventes en dehors des nouvelles unités (vestes, pneus, compléments esthétiques, etc.). Un magasin a effectué de nombreux travaux mécaniques, car il a pu récupérer et déposer des vélos sans jamais interagir directement avec ses clients. Quel meilleur moment que maintenant pour faire vérifier votre jeu de soupapes ou votre révision des 20000 XNUMX km ?
Je vous invite à partager les histoires de réussite de vos concessionnaires avec votre réseau social et à les soutenir vous-même si vous le pouvez.
Nous avons un avenir très prometteur. Donnons un coup de main à ceux qui en ont besoin pour que nous puissions TOUS en profiter.
Je vous souhaite bonne. Reste fort.
Chris Bourque, CRM
Président du conseil d'administration du CMC